Qui est Soulef la créatrice de la méthode ZinAmara : soins massants holistiques et énergétiques ?

Soulef Hettak a fondé ZinAmara en 2020. C’est en écoutant son cœur, que ses rêves se sont réalisés. A la mort de son père, la vie de Soulef a basculé : « la vie est courte, il faut la vivre intensément et tout donner pour atteindre ses rêves les plus fous ». Parfois il est nécessaire de prendre des risques pour réussir, et l’histoire inspirante de Soulef en est la preuve.

D’où vient le nom ZinAmara ?

Il s’agit de la contraction des prénoms de mes parents. Zina, ma maman, qui veut dire « beauté » en arabe. Et mon papa dont le prénom était Amara, qui a déclenché toute cette aventure. ZinAmara est apparue comme une évidence car ce sont eux qui m’ont guidée et me guident encore aujourd’hui.

 

Quelle était ton activité professionnelle avant l’aventure ZinAmara ?

J’étais aide-soignante, je travaillais la nuit dans un centre de rééducation fonctionnelle à Aix-en-Provence, mes patients étaient pour la plupart des accidentés de la route que j’accompagnais durant le rétablissement pour retrouver leur autonomie. J’ai toujours aimé mon métier, depuis toute petite j’avais envie d’aider les gens à se sentir mieux. Le soin a toujours été ma vocation. 

 

Quel a été le déclic pour passer ta première formation ?

J’ai reçu plusieurs signes au même moment, que je n’ai pas pu ignorer. Il paraît qu’autour des 40 ans, il arrive une période de remise en question profonde. Pour moi elle a été précipitée par le décès de mon père, qui m’a énormément affectée. Cela m’a fait l’effet d’un électrochoc, j’avais envie de croquer la vie à pleines dents, de voyager avec mes enfants, de créer de beaux souvenirs avec eux, car malheureusement c’est tout ce qu’il reste lorsqu’on part. Mais j’avais également besoin de me recentrer sur moi, j’étais Soulef la maman, Soulef l’épouse, Soulef l’aide-soignante, Soulef la copine et finalement où se trouvait Soulef la femme, celle qui s’épanouit en réalisant ses rêves ? J’ai senti qu’il fallait que je franchisse un cap. 

En fait ça a commencé comme une histoire banale, je suivais une fille sur les réseaux sociaux, qui proposait des massages à Paris. Je lui ai demandé si elle pouvait me former et elle a accepté. Je suis allée à Paris suivre cette formation et à partir de là j’ai enchaîné les formations. Quelques fois il suffit juste de demander !

Qu’est ce qui t’as motivé à persévérer dans cette voie malgré ton travail de nuit ?

En un mot la passion. Se réaliser dans sa passion, c’est un réel bonheur. J’ai continué parce qu’il le fallait, j’étais en train de découvrir une nouvelle part de moi-même, et cette Soulef là je sentais qu’elle était capable de tout. Comment s’arrêter en si bon chemin ?

Mon époux se posait des questions lui aussi, il n’y croyait pas vraiment, il avait peur que cela soit une lubie. Malgré ses doutes, j’ai tenu bon, parce que je sentais au fond de moi que j’étais exactement là où je devais être.

Ensuite mes premiers massages, je les ai proposés aux patients du centre de rééducation. J’ai tout de suite rencontré mon petit succès. Puis j’ai massé des membres de ma famille, des amis, puis des amis d’amis, qui ont tous fait les éloges de mes massages et de leurs vertus. Plus le temps avançait et plus je prenais confiance en mes capacités. 

J’ai voulu commencer mon activité en proposant des soins à domicile, mais mon époux m’a tout de suite proposé d’aménager une partie de notre villa pour créer un espace dédié. Finalement, lui qui n’était pas si motivé, a fini par y croire aussi ! Donc j’ai débuté mon activité dans ce petit institut. Le jour, je massais et la nuit j’étais à la clinique. A ce moment-là nous étions en 2020.

 

Quand as-tu arrêté ton métier d’aide-soignante pour devenir entrepreneuse ? Et qu’est ce qui t’as poussé à le faire ?

En 2021, j’ai eu l’opportunité de devenir formatrice pour Madérothérapie France. J’ai reçu une formation à Madrid pour devenir formatrice, et après cela j’ai sillonné la France tous les week-ends pour former de nouvelles praticiennes. Donc je cumulais mes nuits à la clinique, mes journées à l’institut et mes week-ends en formation… Je m’éclatais, mais c’était un rythme impossible à tenir sur le long terme. Et puis je ne voyais plus mes enfants, et ça c’était un vrai déchirement. Pour y remédier, j’ai dû prendre l’une des décisions les plus difficiles de mon existence.

Je devais choisir entre la clinique, mes patients, mes collègues et mon entreprise, ce feu que j’avais en moi… D’un côté j’avais ma zone de confort ainsi que ma vocation et de l’autre l’entrepreunariat, la passion-mission, le risque mais également un champs des possibles, des opportunités incroyables, de nouveaux projets.

Au final ce sont tous les encouragements reçus, notamment celui de ma cadre de santé à la clinique qui m’ont convaincue. Elle croyait vraiment en moi depuis le début. Et pour me rassurer, et m’offrir ce filet de sécurité dont j’avais besoin, elle m’avait proposé de me reprendre à mon poste si jamais l’entreprise ne fonctionnait pas. 

C’es en mars 2022 que j’ai définitivement quitté le centre de rééducation et que j’ai pu me concentrer sur ZinAmara. A partir de là, tout s’est enchaîné très vite. Quand on est dans son chemin de vie, tout est plus fluide et limpide. C’est exactement ce qui est arrivé.

 

Comment as-tu fait pour rencontrer le succès en si peu de temps ? 

Mon agenda s’est rapidement rempli grâce aux bouches à oreilles, mes fidèles clientes sont aussi de supers ambassadrices ZinAmara. 

Et puis il y a aussi la méthode ZinAmara en elle-même qui joue son rôle. Sans un excellent soin, les clientes ne se bousculeraient pas à ma porte ! Avec toutes les formations auxquelles j’ai assisté et celles que j’ai proposé, j’ai affiné ma méthode pour la rendre la plus efficace et la plus durable possible. Je pense que c’est ce qui plaît à mes patientes, c’est que le soin est à la fois holistique , bien-être et esthétique.

J’ai également rencontré les bonnes personnes au bon moment. Des célébrités et des influenceuses qui ont tout de suite apprécié mes soins et qui ont relayé le message sur les réseaux sociaux. Il y a également une amie de mon frère qui avait les bons contacts à Dubaï pour que j’aille y proposer mes soins massants holistiques .

Sans oublier mon soin pré et post-chirurgie ZinAmara, que j’ai créé pour les patients qui vont ou ont subi une intervention chirurgicale. Ce soin est très efficace et des chirurgiens d’Aix-en-Provence et les environs m’envoient leurs patients pour la préparation et les suites opératoires. Et avoir une caution médicale est une vraie preuve d’efficacité.

Les patientes qui venaient pour l’aspect esthétique, ce sont vite rendues compte que mes soins vont au-delà de l’esthétique, ils soignent, apaisent, soulagent des maux chroniques. C’est finalement pour cela que les patients reviennent et parlent de la méthode ZinAmara.

Je suis tellement fière de dire que ZinAmara est une nouvelle technique de médecine douce. Pouvoir soigner les gens autrement, avec douceur et de façon naturelle, c’est une vraie réussite pour moi.

Et j’ai la chance de toujours rencontrer des personnes qui m’aident à avancer et à me développer, c’est tellement stimulant !

 

Comment fais-tu pour masser, gérer ton entreprise, développer de nouveaux projets ?

Je suis très bien entourée. J’ai une équipe incroyable, elles sont très impliquées dans tous les projets de ZinAmara. Elles réalisent les soins et, en parallèle, elles m’aident à avancer sur les projets, qui nécessitent beaucoup de temps et d’énergie. 

Et on ne fait pas une bonne omelette sans casser des œufs, c’est évidemment beaucoup de sacrifices. Je vois un peu moins mon mari et mes enfants, mais ils savent que c’est aussi pour eux que je construis tout ça. Je veux les rendre fiers et leur laisser plus que des souvenirs. 

 

Quels conseils donnerais-tu à toutes celles qui souhaitent se lancer comme toi ?

Premier conseil : Croire en ses rêves ! N’oubliez jamais vos rêves, et vos convictions. Ne les abandonnez surtout pas en pensant qu’ils sont inatteignables. Ne laissez personne vous faire croire que vous n’êtes pas capable de les réaliser. 

Deuxième conseil : Oser sortir de sa zone de confort. Je pense qu’il est important d’oser. Cela semble facile à dire, mais déjà oser s’affirmer, être soi et avoir confiance en ses valeurs, c’est essentiel. Parce que se lancer, cela veut dire faire des choix difficiles, faire des sacrifices et se donner à fond ! 

Troisième conseil : Ecouter son cœur.  En fait en écoutant son cœur, on fait les bons choix, même s’ils sont difficiles, on avance avec les bonnes personnes et on échange avec bienveillance. Et quand on est à fond dans un projet, c’est important de réussir à prendre du temps et s’écouter pour vérifier que tout se passe comme on le souhaite.

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